Le coût du bien-être

Certains me disent que l’handicapé ne doit rien attendre de plus de la société qu’un ordinaire, il doit le mériter. Certes, entièrement d’accord si le temps était infini et si nous pouvions quotidiennement nous dispenser de freins.

Pour moi, il est donc temps de remercier les structures que j’annonce, pour leur dire le bien des tarifs avantageux qu’elles pratiquent en faveur des invalides. Pas d’une manière apitoyée, plutôt avec la banane, celle de celui qui a (presque) toutes les capacités qu’un ordinaire, et pour ma part, bien moins économiquement.

En effet, mes 35 journées de ski de l’hiver 2011-2012 (jamais, je n’avais autant skier), m’ont redonné le moral comme je ne l’avais pas eu depuis si longtemps. Et ce n’est pas tout, mes sorties culturelles m’ont aussi permis de me montrer dans des lieux que je n’avais pas fréquentés depuis le collège.

J’espère que cela ne s’arrêtera pas là.

Ce qu’il faut retenir, c’est que ces gestes économiques en faveur des invalides permettent de lever un énorme frein quant à la socialisation, de redonner du moral, de se recultiver, de se refaire une santé physique nécessaire à l’équilibre de chacun.

D’autres le diraient mieux que cela, mais mes mots témoignent aussi des bienfaits des bons plans que je partage avec vous.

N’hésitez pas à partager les vôtres, cela rendra encore plus concret les engagements des structures qui sont sensibles à notre présence dans leurs lieux.

A bientôt.

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